4 mars 1845
(...)
– M. Thys, gracieux compositeur de romances, vient de se faire entendre chez Herz ; il y avait foute. Il est vrai qu’il ne s’agissait pas d’écouter là seulement des
chansonnettes, et que te programme était composé de manière à piquer la curiosité publique plus que ne te font ordinairement les programmes de ce genre. (...) Une romance de M. Thys, avec accompagnement de hautbois obligé, a fait également beaucoup de plaisir ; Hauman s’est trouvé, malheureusement pour nous, dans (…)