M. Henri Meilhac a fait assez de jolis mots dans sa vie pour que nous en puissions rapporter un naïf.
Un de mes amis lui demandait l’autre jour s’il n’avait point travaillé à la Chanson de Fortunio.
– La pièce est charmante, ajoutait-il.
– Oui, répondit l’auteur du Petit-Fils de Mascarille, c’est pour cela qu’on a cru que j’en étais.
Jules Guinot.