Nous sommes à la veille d’avoir quatre solennités en trois jours.
(…) Vendredi, à l’Opéra, la reprise du Comte Ory, et, à la Renaissance, la première de Belle Lurette ;
(…) Voilà, à l’heure où nous écrivons, la situation dramatique telle qu’elle est. Elle manquera de gaîté – vendredi si nous sommes obligés de choisir entre la musique de Rossini et celle d’Offenbach.
Malheureusement, il est à supposer que le Comte Ory et Belle Lurette seront maintenus à la même date : M. Koning aurait bien désiré passer demain, mais il est forcé de faire refaire 30 costumes sur 120 ; d’où retard de vingt-quatre heures. (…)
Jules Prével.