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Courrier des théâtres

Le Figaro – Lundi 8 février 1875

Il y a vraiment une idée dans ces représentations de l’après-midi du dimanche !

Vous avez vu quelles recettes on encaisse à la Gaîté depuis que MM. Offenbach et Duquesnel, associés pour cette entreprise, offrent au public des matinées où leurs troupes apportent chacune son appoint. (…)

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Et ne croyez pas que ces matinées pourront causer un préjudice quelconque à la représentation du soir. Elles lui feraient un tort incontestable si le spectacle du soir ne valait pas le diable, cela est évident ; c’est au directeur à prendre ses précautions : le Malade imaginaire, à la Gaîté, n’a jamais nui à Orphée aux Enfers.

Jules Prével.

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