Ils sont charmant les choristes de Lille, mais ils croient un peu trop que c’est arrivé.
A la dernière représentation de la Fille du tambour-major, au moment où des soldats républicains dégaînent et veulent pourfendre les invités du duc Della-Volta, un figurant, entraîné par son tempérament belliqueux, a blessé un de ses camarades.
Il lui a traversé la main d’un coup de sabre.
Grande émotion parmi les spectateurs qui n’entendent pas que le réalisme soit poussé à ce point.
Jules Prével.