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Échos de Paris

Le Figaro – Mercredi 27 janvier 1875

Parlez-nous des réjouissances publiques. Un de nos correspondants de Monaco nous envoie le récit suivant de son dîner à l’hôtel de Paris, le jour du tir aux pigeons :

(...)

Cette fois nous ne le revîmes plus. Nous mourions de faim, nous eussions fait pitié aux naufragés de la Méduse.

Le désespoir nous fit perdre toute pudeur. La mendicité nous apparut comme une libératrice. Je demandai à un de mes voisins quelques feuilles de salade ; un des nôtres alla implorer du pain et du potage ; un autre rapporta une carcasse de poulet sèche à rendre Offenbach jaloux ; puis se fut un peu de fromage, de sucre, de café.

(...)

LE MASQUE DE FER.

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