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En même temps qu’au Vaudeville, il y avait une première à la salle Taitbout, une salle à tout faire où l’on joue la comédie, donne des concerts et cultive la prestidigitation.
Le drame qu’on y représentait ce soir est tiré, par M. A. Laya, de la Corinne de Mme de Staël.
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Si les nouveaux directeurs pouvaient ajouter quelques violons à leur orchestre, cela ferait plaisir à tout le monde.
Offenbach s’est enfui épouvanté après le premier acte.
Troisième acte de Corinne.
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Un monsieur de l’orchestre.