(…) En attendant, M. Offenbach fait danser fantoccini au petit théâtre des Bouffes-Parisiens, qui devient décidément une succursale de l’Opéra-Comique ; on y chante parfois mieux qu’un vain peuple de critiques ne le pense, et M’sieu Andry, opérette en un acte de M. Duprato, auteur des Trovatelles n’est pas à dédaigner. Si vous joignez à ce petit ouvrage, qui a obtenu un succès de bon aloi, l’Impresario, de Mozart, fleur parfumée tombée par hasard dans une baraque de polichinelles,
vous n’aurez point à regretter l’heur [1] qui vous aura conduit en ces parages.
P. SCUDO.