Une agréable surprise attendait hier soir Mlle Girard, la gentille Madame Favart des Folies-Dramatiques.
Deux familles tyroliennes, de passage à Paria, avaient fait joncher littéralement de fleurs la loge de la divette, pour la remercier du plaisir qu’elle leur avait causé on chantant la tyrolienne du troisième acte.
Le tout accompagné de deux cartes chargées des compliments les plus flatteurs.
Le nom de Juliette Girard deviendra-t-il populaire à Insprück [1] ?...
Jules Prével.