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Salle XXIV. – (...)
M. de Jonghe revient ici avec un autre tableau ; une jeune fille assise au piano, sa mère l’écoute. Cela s’appelle la Berceuse de Chopin. Alors si cette jeune fille jouait un autre morceau, il n’y aurait plus de tableau ? Que M. de Jonghe me prouve donc que cette jeune personne n’exécute pas un air de Madame Favart ou de la Petite Mademoiselle, à moins que ce ne soit la sonate du Clair de Lune, de Beethoven. (...)
Albert Wolff.