Nous n’aurons le Corsaire noir que l’année prochaine, mais les Viennois l’auront cette année.
M. Offenbach va leur envoyer immédiatement le poëme et la partition.
Jules Prével.
Le Figaro – Mardi 12 mars 1872
Nous n’aurons le Corsaire noir que l’année prochaine, mais les Viennois l’auront cette année.
M. Offenbach va leur envoyer immédiatement le poëme et la partition.
Jules Prével.