Il est décidé, au théâtre du boulevard Montmartre, qu’on ne jouera pas la Vie parisienne avant la rentrée de l’hiver.
Alors, si mademoiselle Schneider est libre, si elle veut consacrer le commencement et la fin de son hiver au théâtre à qui elle soit ses plus grands succès, MM. Meilhac, Halévy et Offenbach remanieraient la Vie parisienne de manière à faire de la baronne de Gondremarck un rôle plus important, capable, en un mot, de tenter la diva.
La Vie parisienne serait ainsi jouée par elle et par Dupuis – nous pouvons maintenant garantir que c’est Dupuis qui jouera le rôle de Brasseur – soit en octobre 1872, soit dans les premiers mois de 1873.
Car il est également question, pour l’une de ces deux époques, d’une reprise de la Périchole, dont le troisième acte serait complètement refait.
Entre ces deux reprises, les Variétés donneraient place à leur Revue annuelle, accompagnée de pièces nouvelles, pour n’en pas perdre l’habitude.
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Une lettre bien drôle.
Elle est adressée par un figurant du Roi Carotte au régisseur de la Gaîté :
« Monsieur le régisseur,
» Je vous préviens que je ne pourrai pas faire mon service ce soir. Un de mes amis m’a donné des places : je vais voir la pièce dans la salle.
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Petites nouvelles :
(…)
A Vienne, la Belle Hélène approche de sa 200e représentation.
(…)
Jules Prével.
