(…) La plainte du jeune volontaire est fort juste. Nous ne comprenons pas que les ouvreuses puissent sous le couverts des « petits profits » harceler les gens, qui n’ont rien, a déposer au vestiaire. Elles ne sont pas là, elles ne doivent être là que pour les spectateurs qui réclament leurs services. Vouloir aussi rançonner les « pauvres jeunes soldats » comme disait Dupuis dans la Grande Duchesse, c’est pousser trop loin l’amour de la pièce de deux sous. (…)
Jules Prével.