Un journal de Marseille rend compte de la soirée d’adieux de Mme Théo au Gymnase.
Les Parisiens qui « gobent » le mieux la jolie diva n’ont pas idée des ovations qui lui ont été faites à ce théâtre, où elle venait de jouer un acte de la Jolie Parfumeuse, un acte du Grand Casimir et un acte de Madame l’Archiduc. Après des applaudissements sans fin et des bouquets innombrables, on apporta sur la scène un véritable banc de violettes sur lequel on avait écrit avec des camélias : « A l’année prochaine ». (…)
Jules Prével.