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Courrier des théâtres

Le Figaro – Samedi 1er janvier 1870

Un petit changement est survenu dans Paris-Revue depuis la première représentation : la censure a coupé un couplet relatif à la grande-duchesse de Gérolstein.

C’est le couplet où Satan dit que les Anglais ont failli laisser brûler mademoiselle
Schneider au théâtre Saint-James :

Air : Luth galant.

Après avoir brûlé, les mécréants,
Notre héroïne d’Orléans,
Exemple de vertu, modèle de sagesse !
Ils ont failli brûler notre grande-duchesse...
Ils auraient dû savoir que c’tte enchanteresse
N’était pas d’Orléans ! (bis).

Ma foi disons, pour une fois, que la censure a eu raison de supprimer cela.

Jules Prével.

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