Monsieur le rédacteur,
Une petite rectification à votre anecdote d’hier. L’auteur de l’opérette : les Deux Chevaliers, c’est moi.
Jamais cette pièce ne m’a été refusée, puisque je ne l’ai pas encore présentée et que j’attends qu’Offenbach me la demande à genoux. J’en ai bien parlé un directeur, mais rien que l’idée de la jouer lui a fait faire faillite, et je me crois par conséquent dégagé envers lui.
Agréez, etc.
Philippe Gille.
Gustave Lafargue.