Beaucoup de monde à l’Assemblée. La princesse Troubetskoï et Mme la vicomtesse de Rainnevillé, Mme d’Agout, lord Lyons. Dans une tribune de premier rang, Jacques Offenbach, qui n’ayant plus rien à faire, vient voir la comédie à Versailles.
Le maestro contemple la jolie salle de l’Assemblée et semble dire : « Quel dommage de jouer des pièces aussi ennuyeuses dans un aussi charmant théâtre !... »
Le Masque de fer.