Dernière partie.
(…) Nous voulions dire aussi quelques mots de M. Arsène Houssaye (mais, en ce moment, nous tenons l’auteur par son livre et peut-être que le directeur n’y perdra rien !) ; vous apprendre les commencements de Jacques Offenbach, violoncelliste de talent à l’âge où l’on saute à la corde, compositeur agréable et qui a créé tout un
répertoire d’airs charmants au Théâtre-Français ; donner un coup de crayon en passant à un homme d’esprit, M. Verteuil placer sur deux lignes parallèles le personnel du théâtre ; M. Maisonnier, le caissier (le
grand ressort de la machine !) ; M. Davesne, le régisseur-général ; M. Eugène Laugier, l’architecte ; M. Laurent, inspecteur depuis trente ans ; M. Barré, que nous avons vu en province, et qui jouait fort bien la comédie, etc.
Mais, en ce cas, le cadre eût fini par avoir les proportions de la toile.
H. de Villemessant et B. Jouvin.