La Patte à Coco.
Les premières vont vite. On a tout juste le temps d’essuyer les verres de sa lorgnette. J’ai retrouvé, hier soir, au théâtre du Château-d’Eau, une partie du public de la première du Gascon ; partie notablement revue et corrigée, car l’Alhambra de M. Cogniard a, pour quelques délicats, l’inconvénient d’être un Alhambra, et de posséder comme tel un promenoir-fumoir où l’on peut déguster un bon bock entre deux couplets de Clairville. Il est vrai que la direction ne compte pas précisément sur des délicats pour remplir sa salle qui du reste est bien trop grande pour cela.
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Un monsieur de l’orchestre.