(…) Au dernier acte, Peschard et Théo, en Grabuge et Pitou, portent toutes deux une cotte de mailles qui pèse un bon poids. Peschard a poussé la conscience jusqu’à mettre des moustaches ; quant à Théo, la perruque en broussailles, pareil à celle de Gabel, la rend suffisamment méconnaissable. (…)
UN MONSIEUR DE L’ORCHESTRE.