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Paris au jour le jour

Le Figaro – Samedi 9 octobre 1880

(…) Terminons par un mot d’Offenbach : il est cité par Goliath, le nouveau chroniqueur du Soir :

J’ignore si en dehors des Contes d’Hoffmann et de Belle Lurette, deux partitions absolument terminées, Offenbach laisse d’autres œuvres en préparation ; je sais seulement que beaucoup de morceaux détachés, qui n’ont pu trouver place jusqu’au ici dans ses pièces, ont été mis de côté par lui, et que dans ses jours de bonne humeur, il disait volontiers à ses intimes, en montrant le portefeuille où elles sont renfermés.
– Ceci est pour donner à Saint-Saëns après ma mort. Il y trouvera des mélodies qui ne lui seront peut-être pas inutiles.
Adolphe Racot.

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