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Petit courrier des théâtres

Le Figaro – Lundi 28 septembre 1868

La Périchole excite une vive attente. Elle doit la justifier.

Tous les artistes des Variétés sont d’accord pour louer la pièce et la musique, et répètent avec un réel enthousiasme de onze heures à quatre heures.

Mademoiselle Schneider, dans un rôle à deux aspects, aura des effets nouveaux.

On nous cite une scène d’ivresse entre elle et Dupuis, jouée et chantée à merveille ; puis à la fin du premier acte, une lettre écrite et chantée avec des nuances de sentiment très fines.

Grenier a composé un vice-roi épique, et Blondelet, le chambellan Tarapo [1], sera un type très original.

(...)

Jules Prével.

[1sic

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