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Aux Variétés aussi, où Mlle Schneider a terminé ses représentations de la Grande-Duchesse et de la Périchole, il y a déluge de nouveautés. C’est d’abord la Roulette, une pièce en trois actes, qui renfermait des situations gaies et qui certainement eut été fort bien accueillie il y a quelques années ; mais le règne de la cascade a tellement changé les goûts et les habitudes du public parisien, que ce qui faisait rire nos pères nous laisse dans une complète indifférence. Aussi la pièce n’a-t-elle fait que passer et elle n’est déjà plus.
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D. A. D. Saint-Yves.