M. Gaspari avait pris, quand il joua Un tas de bêtises, un brevet pour des roses-réclames artificielles.
Il va exploiter de nouveau ce brevet pour Geneviève de Brabant, et sur les feuilles de la rose s’épanouiront les trognes burlesques des deux hommes d’armes Grabuge et Pitou.
Cent mille de ces fleurs légendes vont être distribuées dans Paris.
Tout n’était pas rose au début de cette entreprise, tout le sera-t-il désormais ?
Espérerons-le, puisque M. Gaspari a en poche un traité par lequel tout le répertoire d’Offenbach lui appartient.
Jules Prével.