Lebel recevra ces jours-ci l’envoi de ses camarades des Variétés.
Ils ont, jusqu’à ce jour, réuni 105 fr.
Offenbach a voulu en être.
On n’attend plus que l’offrande de la grande-duchesse : entre souverains, l’assistance est de tradition.
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Hier soir, aux Variétés, reprise de la Belle Hélène.
Recette authentique : 4,703 fr. 50 c.
Mademoiselle Tautin a très bien joué et chanté.
M. Gerpré était paralysé par l’émotion.
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Plusieurs journaux annoncent que M. Brasseur va faire le 1er juillet, sa rentrée au Palais-Royal.
Nos confrères se trompent.
Quand Brasseur prit son congé, la direction du Palais-Royal fut très heureuse de trouver Berthclier, qui la tira d’un grand embarras, en acceptant la succession de son camarade.
Aussi, dans un accès de reconnaissance, les directeurs de ce théâtre signèrent-ils à M. Berthelier un engagement aux termes duquel cet artiste jouerait les rôles de Prasper-Frick-le Brésilien, jusqu’à la fin des représentations de l’ouvrage.
Ces mots-là y sont, nous les avons vus, de nos propres yeux vus, ce qui s’appelle vus.
Donc, M. Brasseur ne vas pas faire sa rentrée le 1er juillet dans la Vie parisienne.
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La nouvelle duègne, madame Delille Il, vient d’adopter un nom qui évitera toute confusion : elle s’appellera madame Nordy.
Elle succède à madame Thierret, mais la remplacera-t-elle ?
Nous en doutons.
Jules Prével.
