ANTOINE VIDAL. – Les Instruments à archet, 3e volume, Paris, Claye. – 1878.
(...) Des compositeurs qui semblaient n’avoir écrit que pour la scène ont, eux aussi, essayé leurs forces dans l’art difficile de la musique de chambre. C’est ainsi que nous trouvons les noms de Paesiello, de Paccini, d’Ambroise Thomas (un quatuor op. 1). Offenbach aussi tient une place importante, avec une suite de duos progressifs pour le violoncelle, et Musard compte quatre quatuors de chambre qui datent du commencement de sa carrière musicale ; mais le plus intéressant de tous dans ce genre serait certainement une œuvre de cinq quatuors de Rossini, exécutés au Licco Filarmonico de Bologne, en 1809. (...)
H. L.