M. Duruy a demandé à M. Thierry, directeur du Théâtre-Français, un rapport sur les progrès de la littérature dramatique. M. Thierry, qui est commissaire du gouvernement, a naturellement répondu que, grâce à de hautes protections, la littérature dramatique marchait très bien, que les alexandrins qu’on lui présentait avaient rarement plus de quinze pieds, et que si on ne créait pas des Marion Delorme et des Antony, c’était la faute d’Offenbach.
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Henri Rochefort.