Ah je viens de recevoir un coup... Nous n’aurons pas d’Offenbach à l’ouverture des Bouffes !
Le maestro ne sera point en mesure de livrer Coscoletto, opérette dont les paroles sont de M. Nuitter.
J’en suis bien aise pour Nuitter ; il y a si peu de monde à Paris au mois de septembre.
Louis Leroy.