Par date

Feuilleton du Figaro du 16 septembre 1868

Le Figaro – Mercredi 16 septembre 1868

Madeleine Bertin
par Jules Claretie

XI
– Suite –

(...) Des mélancolies, de pâtre, – lorsque la nuit tombe, – se confondent dans des refrains ardents de cabaret. La chanson d’amour, l’élégie désolée, la mélodie trempée de larmes, est coupée soudain par une énergique bourrée ; le Wéber tombe dans l’Offenbach et la mélancolie dans l’ivresse. (...)

Jules Claretie.

(La suite à demain.)

Par date
Rechercher
Partager