Madeleine Bertin
par Jules Claretie
XI
– Suite –
(...) Des mélancolies, de pâtre, – lorsque la nuit tombe, – se confondent dans des refrains ardents de cabaret. La chanson d’amour, l’élégie désolée, la mélodie trempée de larmes, est coupée soudain par une énergique bourrée ; le Wéber tombe dans l’Offenbach et la mélancolie dans l’ivresse. (...)
Jules Claretie.
(La suite à demain.)