(...)
Au lieu de tuer des Cosaques ou des Autrichiens on y rossait des Chinois. Ajoutez à ces pièces à spectacle deux où trois vaudevilles médiocres, une douzaine d’ineptes cantates et quelques couplets soi-disant patriotiques dans les revues de fin d’année, et vous aurez le bilan exact de la guerre appliquée à la littérature dramatique.
J’aime mieux le répertoire d’Offenbach, quoique vous en pensiez.
(...)
Albert Wolff.