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Un Monsieur de l’orchestre.
P.-S : – Je reçois la lettre suivante en réponse à mon article de ce matin :
« Mon cher ami,
» Vous avez raison les fêtes de centième demandent à se célébrer d’une façon nouvelle, M. Cantin, mes collaborateurs et moi, nous avons trouve la combinaison.
» Pas de déjeuner à la campagne : les artistes s’enrhument.
» Pas de souper : cela les fait coucher trop tard, et trouble les habitudes régulières dont ils doivent l’exemple au public.
» Nous offrirons tout simplement à nos excellents et dévoués interprètes, un dîner, dont nous allons fixer la date d’accord avec eux.
» Ce jour-là, la représentation commencera à une heure de l’après-midi. Si cette fois Sarcey n’est pas content, il sera difficile.
» Votre
» Jacques Offenbach. »