Nous recevons la lettre suivante :
15 mars 1860
Mon cher Villemessant,
Je n’avais ni à mettre à l’amende mon pensionnaire Désiré, ni à écrire une lettre d’excuses au journal dont vous parlez, vu que Désiré n’a jamais prononcé les mots que des mouchards complaisants vous ont rapportés.
Tout à vous,
D [1]. Offenbach.
M. Offenbach est-il bien certain de ce qu’il avance ? Le jurerait-il sur les cendres de ses actionnaires ?
PIERRE ET JEAN.