Madame Clarissse [1] Miroy accepte un engagement à l’Alcazar pour y créer le principal rôle d’une revue intitulée Chilpérichole.
Auteur, M. Louis Houssot, déjà peintre et chansonnier.
On nous écrit de Londres (correspondance particulière du Figaro) :
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M. Howard Paul s’est rendu à Paris pour traiter avec Offenbach, moyennant 25,000 fr. d’un nouvel opéra-bouffe qui ne serait qu’un épilogue plus ou moins cornu de la Grande-Duchesse. Cela aurait le titre intraduisible de The Grand Duchess more married than settled, soit, par à peu près, « Mariée, mais toujours capricieuse. »
Deux librettistes anglais ont imaginé de conjoindre le prince Paul et sa volcanique déesse. La scène capitale serait, paraît-il, celle du forgeron redressant les tortuosités du « sabre de mon père, » cérémonie qui serait célébrée au milieu des chants les plus joyeux, etc.
Je ne vous transcris que ce que l’on raconte ici.
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Jules Prével.