Les Noces d’Olivette, opéra comique en trois actes, paroles de MM. Chivot et Duru, musique de M. Edmond Audran. – 1re représentation, jeudi 13 novembre.
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Jusqu’au finale du second acte, la partition des Noces d’Olivette ne nous promettait qu’un compositeur aimable, à la mélodie facile et assez élégante, mais d’une originalité modérée. Offenbach et Lecocq se coudoyaient fraternellement dans sa musique, qui faisait plutôt l’effet d’un agréable et banal album de romances que d’un opéra comique.
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Le finale, qui contient de jolis détails, comme les couplets d’Olivette est trop court, peu scénique et manque de clarté ; cependant une strette allegro à deux temps, à la manière d’Offenbach, lui donne un certain entrain.
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H. Lavoix, fils.