1864

Semaine théâtrale

Dimanche 20 mars 1864
(...) Bouffes-Parisiens : Les Géorgiennes, opéra-bouffe en 3 actes, paroles de M. Moinaux, musique de M. Jacques Offenbach. (...)
Nous les avons vues, enfin, ces Géorgiennes, qui devaient inaugurer la saison ; elles avaient manqué l’heure... de quelques mois, attardées, sans doute, pas leur toilette, qui est éblouissante, mais qu’on a trouvée un peu tapageuse, et qui a paru telle surtout à cause de l’élégance et de la beauté de la salle nouvelle, qui appelle évidemment un genre de (…)
Les Géorgiennes

Semaine théâtrale

Dimanche 25 septembre 1864
Les Bouffes-Parisiens affichent enfin leur réouverture, elle aura lieu mercredi avec les Dames de la Halle ; le prix des places sera diminué. Un procès fort curieux va, dit-on, s’engager, les principaux collaborateurs du grand maestrino d’Orphée aux enfers ayant fait défense aux Bouffes-Parisiens de jouer leurs pièces.
Le différend viendrait d’un traité accordé autrefois par ce théâtre à M. Offenbach et à ses collaborateurs, et annulé par la nouvelle administration. Celle-ci a fait des (…)
Mesdames de la Halle Orphée aux Enfers

Semaine théâtrale

Dimanche 2 octobre 1864
(...)
Voici qu’on annonce, pour cet hiver, une vaste opérette en trois actes, de MM. Meilhac et Ludovic Halévy, musique de M. Offenbach, sous ce titre qui promet une nouvelle parodie de l’antique, un pendant à Orphée aux Enfers : l’Enlèvement d’Hélène. Et cette opérette n’est pas destinée aux Bouffes-Parisiens, mais bien aux Variétés ! Faut-il y voir un grave symptôme de la discorde qui s’est élevée entre la nouvelle administration des Bouffes et les anciens auteurs de ce théâtre ?
(...) (…)
Orphée aux Enfers La Belle Hélène

Semaine théâtrale

Dimanche 25 décembre 1864
(...)
On nous permettra de ne pas nous arrêter beaucoup à la Belle Hélène. De pareilles folies échappent au compte rendu. Il faut les voir pour s’en faire une idée. Le succès est incontestable, mais ce genre n’a pas toutes nos sympathies, et nous trouvons particulièrement regrettable que des hommes aussi distingués que MM. Meilhac et Ludovic Halévy, qui ont mieux à faire et qui ont fait mieux, s’amusent à ces sortes de parodies. La verve de M. Jacques Offenbach est intarissable. Il y a (…)
La Belle Hélène

Rechercher