Théâtre-Français. — Grâce à M. Offenbach, la Comédie-Française a gagné ses éperons lyriques cette semaine. Le nouvel orchestre a fonctionné en l’honneur de la Reine de Navarre. Nous reparlerons de la musique de M. Offenbach, et de la Sérénade de Schubert habilement encadrée dans les intermèdes de musique qui ont fait le plus grand plaisir. — A jeudi prochain, dit-on, le Joueur de flûte d’Emile Augier, pour lequel M. Offenbach a écrit tout un solo de flûte. Décidément le Théâtre-Français se fait musical.
Jules Lovy.