On joue maintenant le dimanche à New-York, et ce, au grand scandale d’une partie de la population. (…)
Ce qu’il y a de plus amusant dans tout cela, c’est la rédaction des affiches dominicales, portant toutes :
MUSIQUE SACRÉE
Même chez Strackosh : la Traviata, « musique sacrée » ! – Ailleurs, la Grande-Duchesse, « musique sacrée ». – La Famille de l’Apothicaire, « musique sacrée », etc. etc. (…)
Charles Darcours.