Les théâtres du Caire, qui sont la propriété du khédive (lequel en est le véritable imprésario, ayant Draneth-Bey pour régisseur), les théâtres du Caire sont en révolution
Le vice-roi a voulu civiliser l’Egypte avec la musique d’Offenbach et les jambes de Gaudinette.
Les habitants ont sifflé à outrance, sous le frivole prétexte que ces exhibitions ne leur convenaient pas et que, s’ils étaient chez le vice-roi, après tout, ils payaient leurs places et achetaient le droit de manifester leur mécontentement. L’affaire en est là.
Gustave Lafargue.