Il y a encore de beaux soirs pour la gaieté française. Dimanche, 10 septembre, elle s’installera dans le passage Choiseul, aux Bouffes-Parisiens, mais aux vrais Bouffes, aux Bouffes-Offenbach.
La salle a été remise à neuf, la troupe aussi.
Nous aurons pour spectacle d’ouverture : Douze innocentes, paroles de M. de Najac, musique de Grisar ; la Boîte aux surprises, un acte de M. Laurencin, musique de Deffès enfin, la Chatte métamorphosée en femme, cette jolie opérette d’Offenbach que nous n’avons pas entendue depuis sept ans.
Dans le cours de la saison, le répertoire s’enrichira de plusieurs pièces importantes, au premier rang desquelles il faut placer les Bergers, grand ouvrage auquel travaille en ce moment le nouveau directeur, Offenbach.
LÉGION.