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Nous arrivons à Nice à sept heures.
Je suis à peine descendu de wagon que mes oreilles sont écorchées par une horrible musique allemande. Je reconnais la valse des Deux Aveugles et je commence à avoir des soupçons. On pousse de frénétiques hurrahs ! plus de doute, c’est Offenbach qui vient au-devant de nous en compagnie de quelques amis et nous donne une aubade.
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H. de Villemessant.