La marche triomphale de l’abrutissement continue sur nos différentes scènes parisiennes. Des femmes déshabillées, les idiots de lettres, les vieux jeunes gens et les jeunes vieillards s’en fourrent jusque là, comme disait Hyacinthe dans la Vie parisienne de cet Offenbach tant calomnié, tant attaqué, et qui a certes plus de talent et d’esprit que les piètres vaudevillistes qui l’accusent d’abaisser le niveau intellectuel des masses. (…)
Albert Wolff.