La représentation de l’Ambigu était attendue avec une certaine impatience. (…)
Je savais que le drame nouveau sur lequel l’Ambigu fonde de grandes espérances était l’œuvre d’un M. Barbusse. (…)
Je profite d’un entracte pour me livrer à de nouvelles recherches.
– Barbusse, me dit Meilhac, vous ne le connaissez pas… vous ?
– Non, qu’y a-t-il là d’étonnant ?
– Mais vous n’avez donc jamais vu la Belle Hélène ?
C’est le roi Barbuss qui s’avance ! (…)
UN MONSIEUR DE L’ORCHESTRE.