Chatean-d’Eau. – La Patte à Coco, féerie en trois actes et vingt tableaux par MM. Clairville et Gaston Marot.
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Les développements fournis par cette donnée rabelaisienne ne sont pas tous également heureux, ou rappellent trop fidèlement la donnée première du Roi Carotte ; mais il faut citer cependant comme une invention amusante la scène où la population de Haut-Bignon, informée des propriétés magiques de Cascarinet, se précipite sur le malheureux pitre, qui fournit une course insensée, poursuivi par des bourgeois dont le seul désir est de l’atteindre dans sa partie magique.
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Auguste Vitu.