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Les VARIÉTÉS reprennent la Belle Hélène, en manière d’étrennes à
MM. Ludovic Halévy, Meilhac et Offenbach, et en attendant la grande
opérette nouvelle.
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La liste des revues de fin d’année sera longue cette fois : les Thugs,
des Variétés, et la Vie parisienne l’avaient brillamment ouverte, le Diable boiteux est venu ensuite, puis en dernier lieu la Petite Presse, aux Délassements-Comiques ; la Fée aux amourettes, au Théâtre-Déjazet ; les Canards l’ont bien passée, aux Folies-Marigny. Les Bouffes-Parisiens et les Folies-Saint-Germain nous doivent encore leurs revues, et je ne suis pas bien sûr que celles-là soient destinées à clore la liste.
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GUSTAVE BERTRAND.