Lucrèce, opéra-bouffe en trois actes, de MM. Hippolyte Lefebvre et Lucien d’Hura, musique de M. Ben-Tayoux.
Depuis la Belle-Hélène, ce modèle du genre, les auteurs qui empruntent à l’antiquité le sujet d’une pièce à cascades ne cherchent qu’un moyen d’être drôles : c’est de faire parler à leurs personnages l’argot de 1870. Le moyen a déjà été bien usé, et MM. Meilhac et Halévy n’y avaient eu recours qu’avec beaucoup de délicatesse et une grande légèreté de main.
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