On nous assure que parmi les nombreuses demandes de sauf-conduits adressées aujourd’hui au préfet de police, il s’en trouvait une au nom de M. Flourens.
On aurait bien tort de lui refuser cette faveur, surtout si ses braves tirailleurs de Belleville doivent lui faire cortége à son départ, en chantant cet air connu d’Offenbach :
Pars pour la Crète, pars pour la Crète !
Pars, pars, pars, pars.
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