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Théâtre italien

Le Figaro – Jeudi 17 janvier 1867

IL BARBIERE

Et pendant ce temps de Rosine
La voix mutine,
Chantait les airs de Rossini.
Et toute la salle grisée,
Electrisée,
Battait des mains à la Patti.

C’est la Vie parisienne qui vous fait ce compte rendu, fort exact, je vous jure, de la reprise du Barbier.

MM. Meilhac et Halévy sont bien heureux de pouvoir faire de la critique musicale, avec accompagnement de M. Offenbach !

Si jamais le cœur vous en dit, ô le plus joyeux des maîtres ! je suis tout à votre disposition. Nous ferons ensemble le compte rendu de Don Carlos, si vous m’acceptez pour collaborateur.

Après les vers que je viens de citer, je demande la permission de ne rien ajouter sur le compte de mademoiselle Patti. C’est toujours la même jeunesse, la même fraîcheur, le même enchantement, et on ne peut cependant pas recommencer tous les huit jours le récit de ce conte où chaque parole de la belle princesse se change en pierre précieuse.

Passons donc de suite à l’examen des autres interprètes du Barbier.

(…)

Eugène Tarbé.

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