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Théâtres

Le Figaro – Dimanche 22 septembre 1867

Hier soir, la 137e représentation de la Grande-Duchesse a atteint le maximum de location (4,400 fr.) et de recette totale (5,300 fr.)

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Mlle Schneider, qui semblait un peu fatiguée, a retrouvé son entrain des premiers jours.

Mademoiselle Garait continue néanmoins de répéter son rôle avec beaucoup de succès.

Si elle avait à le jouer, elle céderait le sien, celui de Vanda, à mademoiselle Georgette Vernet qui est rentrée et l’apprend depuis trois jours.

Enfin, au commencement d’octobre, Couder prendra probablement son congé et transmettra les insignes du général Boum à Christian.

Celui-ci a déjà fait, au pied levé, ses preuves de vaillance dans ce haut grade.

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On nous certifie qu’en quittant les Variétés pour le Châtelet, mademoiselle Schneider ne leur dira pas adieu, mais au revoir : elle reviendra pour la future pièce de ses trois auteurs préférés, à la prochaine saison des roses.

Nous le savions.

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Mademoiselle Schneider n’a qu’à bien se tenir !

Il est à Paris une grande artiste qui, dans ses heures de loisir, vient de s’amuser à apprendre le rôle de la grande-duchesse et qui le chante à ravir avec autant de chic et de cascades que mademoiselle Hortense.

Cette artiste, cette rivale redoutable, c’est… Adelina Patti !

On nous assure que, dans ses petites soirées intimes, la diva chante le rôle de la grande-duchesse de façon à enthousiasmer ses amis.

Jules Prével.

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