Les répétitions de Robinson Crusoé, interrompues un moment à l’Opéra-Comique par l’absence des auteurs, vont être reprises cette semaine, pour n’être plus discontinuées jusqu’à la représentation de l’œuvre, qui aura lieu vers la mi-octobre.
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Le succès de la Grande-Duchesse tourne au délire. Les recettes ont atteint, lundi, 5,200 francs ; mardi, 5,203 fr. 50 c, et vendredi, 5,300 fr. — Mlle Garait étudie le rôle de la grande-duchesse.
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L’événement du jour à Toulouse est le grand succès obtenu sur la scène de cette ville par la Grande-Duchesse, qui déjà a vu vingt-cinq représentations. Toulouse-la-Savante a ri du meilleur cœur du monde. Mme Fleury, MM. Pages et Richard ont parfaitement saisi leurs rôles. L’interprétation générale est excellente. Aussi le directeur M. Comminge, heureux d’un succès qui n’est pas encore à la veille de se ralentir, a-t-il offert une fête intime à ses pensionnaires.
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Une salle bien garnie, des applaudissements et des appels réitérés, tel est le bilan d’une soirée qui a été donnée au Grand-Théâtre du Havre par M. Berthelier, avec le concours de M. Gourdon, des Fantaisies-Parisiennes. Les bénéficiaires ont provoqué des éclats de fou rire par la Leçon de chant, dans laquelle Offenbach a introduit un motif d’une originalité charmante. M. Gourdon a dit avec, le plus grand succès un Air bouffe anglais, échappé à la plume si spirituellement railleuse de l’auteur de la Grande-Duchesse. Les Deux aveugles, très-bien rendus par les deux artistes, ont joyeusement terminé la représentation.
