Offenbach a bravement coupé dans son Robinson plusieurs morceaux qui faisaient longueur.
Ainsi, dans le premier acte, il a retranché le duo de la fin entre Montaubry et mademoiselle Cico.
Dans les deux autres actes, il a également supprimé plusieurs choses qui ralentissaient l’action.
Une premier remarque, en passant : dans l’année qui vient de s’écouler, Offenbach a donné trois grandes pièces : la Vie parisienne, la Grande-Duchesse de Gérolstein et Robinson Crusoé !
Jules Prével.